Anjo negro e Medéia: tragédia nos trópicos

Abstract

En décembre de 1974, Nelson Rodrigues a assuré dans une interview à Folha de São Paulo que le théâtre ne doit pas comme un bonbon à la liqueur. Théâtre doit avilir, offenser le spectateur . Cette déclaration proferé par le dramaturge synthétise l'objctif de sa ouvrage: être désagréable. Em 1949, Nelson Rodrigues a classé, dans une revue qui s'appellait Dionysos, les ouvrages Álbum de Família, Anjo Negro, Dorotéia e Senhora dos Afogados de pièces désagréables. Par lui, telle pièce a assumé cette caractéristique parce qu'elles sont cruel e pénible, provoquant, ainsi, le typhus et la malaria au public spectateur. Alors, le dramaturge a proposé un nouveau concept de téâthe, intitulé par lui comme téâtre désagréable. Ce travail a pour objctif central de cette recherche est réaliser une analyse comparative entre une ouvrage du théâtre désagréable de Nelson Rodrigues, Anjo Negro, et Medéia, de Eurípides. À travers de cette analyse, nous voudrions vérifier si les éléments de la tragédie proposé par Aristóteles, dans Arte Poética, sont présente dans les deux pièces qui seront, ici, analysé. En outre, cette ouvrage rodriguiana possède la même thématique que Medéia, ce que devient une comparaison entre les deux. Avec l'analyse entre les deux ouvrages étudié, nous chercherions exposer le projet théâtral de Nelson Rodrigues, mettant em relief le positionnement de la critique en face de sa ouvrage et le positionnement de lui-même en face de sa création dramatique